WHO IS MOG ?

J’expérimente la notion de Temps, de Sentiment, dans l’intention de mettre en avant l’identité féminine de façon claire et accessible.
Je peins des personnages historiques féminins de façon assez classique. Je n’invente pas mais retranscrit ; La personne, le sujet est choisi de connivence avec celui ou celle qui demande le projet.
Je choisi ensuite un environnement coloré et souligne le regard par un calque contrasté au niveau des yeux. Comme un coup de fluo qui attire l’oeil, qui provoque, force l’échange.

WIKI NANA

OLYMPE DE GOUGES

Olympe de Gouges, de son nom de naissance Marie Gouze, née le 7 mai 1748 à Montauban et morte guillotinée le 3 novembre 1793 à Paris, est une femme de lettres, dramaturge et femme politique française. Rédactrice en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, elle a laissé de nombreux écrits et pamphlets en faveur des droits civils et politiques des femmes et de l’abolition de l’esclavage des Noirs dans les colonies. Elle est considérée comme l’une des pionnières françaises du féminisme, et est souvent prise pour emblème par les mouvements pour la libération des femmes.

FRIDA KHALO

Frida Kahlo est une artiste peintre mexicaine née le 6 juillet 1907 à Coyoacán (Mexico)

Tout au long de sa vie, elle garde une santé fragile, souffrant de poliomyélite depuis l’âge de six ans puis victime d’un grave accident de bus. Après son accident, elle se forme elle-même à la peinture. Elle vit une relation passionnée avec le peintre Diego Rivera, qu’elle épouse en 1929 et ré-épouse en 1940. Ils s’incluent mutuellement dans leurs œuvres.Autrice de 143 tableaux très empreints de culture mexicaine, elle est principalement connue pour ses autoportraits, qui témoignent souvent de sa souffrance physique et morale. Devenue un symbole nationaliste mexicain, elle est une icône du féminisme et de la mode, et son image est surexploitée commercialement après sa mort.

MARGA D’ANDURAIN

Marga d’Andurain, née Jeanne Amélie Marguerite Clérisse le 29 mai 1893 à Bayonne (France) et morte le 5 novembre 1948 dans la baie de Tanger (Maroc), est une aventurière française.

Source de nombreux fantasmes, elle fut tour à tour accusée d’espionnage, de meurtres, de trafic de drogue, de perles ou de diamants[1] mais elle a surtout marqué son temps pour avoir tenté d’être la première Européenne à pénétrer dans la cité sainte de La Mecque en Arabie Saoudite. Elle fut assassinée à bord de son yacht, le Djéïlan[1], à 55 ans.

ADELAÏDE LOUISE LOSSEAU

Adélaïde Louise Losseau, serait née le 6 octobre 1830 à Reims, serait issue d’une famille aisée, les Consigny, dont les racines s’étendent de la Champagne à la Lorraine.
Elle grandit dans un environnement propice à la créativité.
Adélaïde, depuis son enfance, se passionne pour l’architec- ture, étudiant seule les principes fondamentaux de cette disci- pline avec son cousin Lionel Consigny (lui-même en voie de devenir architecte).
En août 1860, Lionel Consigny est chargé de la conception et de la construction du petit château de l’Héritage à Châtil- lon-sur-Marne. Le cholera empêchera l’architecte de pour- suivre sa tâche et laissera le champ libre à sa cousine en qui il a toute confiance.
Ainsi Adélaïde Louise Losseau aurait témoigné son ingéniosi- té dans cette réalisation telles qu’en relatent les représenta- tions qui en ont été faites.
Le château sera détruit lors de la seconde guerre mondiale

LA FEMME SANS VOIX

La femme sans voix ne s’exprimera plus.

SIMONE VEIL

Née dans une famille juive aux origines lorraines, elle est déportée à Auschwitz à l’âge de 16 ans, durant la Shoah, où elle perd son père, son frère et sa mère. Rescapée avec ses sœurs Madeleine et Denise, elles aussi déportées, Simone Jacob épouse Antoine Veil en 1946. Après des études de droit et de science politique, elle entre dans la magistrature comme haut fonctionnaire.

En 1974, elle est nommée ministre de la Santé par le président Valéry Giscard d’Estaing, qui la charge de faire adopter la loi dépénalisant le recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG), loi qui sera ensuite couramment désignée comme la « loi Veil ». Elle apparaît dès lors comme une icône de la lutte contre la discrimination des femmes en France.

Elle est la première présidente du Parlement européen — et la première personne élue à ce poste au suffrage universel —, une fonction qu’elle occupe de 1979 à 1982. De façon générale, elle est considérée comme l’une des promotrices de la réconciliation franco-allemande et de la construction européenne.

De 1993 à 1995, elle est ministre d’État, ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville au sein du gouvernement Édouard Balladur. Elle siège au Conseil constitutionnel de 1998 à 2007, avant d’être élue à l’Académie française en 2008.

Simone Veil fait son entrée au Panthéon avec son époux le 1er juillet 2018

MADELEINE BRES

Madeleine Brès, née en 1842 à Paris, est la première femme médecin en France. Issue d’un milieu modeste, elle manifeste très tôt un goût pour les études. En 1864, dans un contexte où la médecine est réservée aux hommes, elle entreprend des études médicales et parvient, malgré les obstacles, à intégrer la faculté de médecine de Paris. En 1875, elle devient la première femme à obtenir le diplôme de docteur en médecine avec une thèse sur les maladies de l’accouchement. Elle s’engage ensuite pour l’éducation des femmes et leur accès aux professions médicales, en exerçant comme médecin et en militant pour leurs droits. Active dans le mouvement féministe, elle défend l’égalité et consacre sa vie à améliorer la santé des femmes et des enfants. Son combat et son engagement en font une figure emblématique, source d’inspiration pour les générations futures. Elle meurt en 1925, laissant un héritage toujours vivant dans les domaines médical et féministe.

GEORGE SAND

George Sand, de son vrai nom Amantine Aurore Lucile Dupin, naît le 1er juillet 1804 à Paris. Élevée dans une famille noble, elle passe une partie de son enfance dans la propriété familiale de Nohant, dans le Berry, qui deviendra plus tard un lieu emblématique de sa vie et de son œuvre. Mariée jeune au baron Casimir Dudevant, elle se sépare rapidement de lui pour mener une vie indépendante, un choix audacieux pour une femme de son époque.

À partir de 1831, elle adopte le pseudonyme masculin George Sand pour publier ses écrits et accéder plus librement au monde littéraire dominé par les hommes. Elle se fait connaître avec des romans comme Indiana (1832), où elle aborde la condition féminine et critique les mariages forcés. Son œuvre, riche de plus de 70 romans, explore les thèmes de la nature, de la liberté, de la justice sociale et de l’émancipation des femmes.

Femme engagée, George Sand milite pour la démocratie, la justice et les droits des femmes. Elle entretient des relations avec plusieurs grandes figures de son temps, dont l’écrivain Alfred de Musset et le compositeur Frédéric Chopin. Son style de vie libre et son habillement masculin choquent la société mais illustrent son refus des conventions.

Elle meurt à Nohant le 8 juin 1876, laissant une œuvre littéraire majeure et une image de femme libre, passionnée et en avance sur son temps.

JEANNE D’ALBRET

‏Jeanne d’Albret, née le 16 novembre 1528 à Saint-Germain-en-Laye, est la fille du roi de Navarre, Henri d’Albret, et de Marguerite de Navarre, sœur de François Ier. Éduquée dans un milieu humaniste, elle montre dès son jeune âge une forte personnalité. En 1548, elle épouse Antoine de Bourbon, avec qui elle aura plusieurs enfants, dont le futur roi Henri IV.

Reine de Navarre à la mort de son père en 1555, Jeanne se convertit au protestantisme en 1560, devenant une figure majeure de la Réforme en France. Elle fait de son royaume un refuge pour les protestants persécutés et soutient activement la cause huguenote pendant les guerres de Religion. Elle joue un rôle politique important, notamment en organisant les alliances protestantes.

Femme de conviction, Jeanne d’Albret meurt à Paris le 9 juin 1572, peu avant le mariage de son fils avec Marguerite de Valois. Elle reste une figure emblématique du protestantisme français et une femme de pouvoir remarquable

WANGARI MUTA MAATHAI

Wangari Muta Maathai, née en 1940 au Kenya, est une biologiste, militante écologiste et femme politique. Première femme d’Afrique de l’Est à obtenir un doctorat, elle fonde en 1977 le Green Belt Movement, un mouvement de reboisement porté par les femmes pour lutter contre la déforestation, la pauvreté et l’oppression. Elle fait planter des millions d’arbres à travers le Kenya, reliant protection de l’environnement et droits humains. Engagée pour la démocratie, elle subit arrestations et violences sous le régime autoritaire. En 2004, elle devient la première femme africaine à recevoir le Prix Nobel de la paix, pour sa contribution au développement durable, à la démocratie et à la paix. Wangari Maathai meurt en 2011, laissant un héritage fort en faveur de la justice environnementale et des droits des femmes.

EUGENIE HULOT

Eugenie Hulot, née au 19e le siècle, est l’une de ces femmes exceptionnelles. Mère, Maire et chef d’entreprise, elle réussit a emboucher exclusivement des femmes dans sa manufacture de chewing-gum. Précurseure en ressources humaines, la manufacture intégre une crèche qui permet aux femmes de travailler, de gagner leur vie et leur indépendance tandis que leurs enfants apprennent à lire.

MARIE-AURORE DE SAXE

Marie-Aurore de Saxe, comtesse de Horn, puis Madame Dupin de Francueil, est née à Paris le 20 septembre 1748 et morte à Nohant-Vic (Indre), le 26 décembre 1821. Fille naturelle du maréchal Maurice de Saxe, elle est la grand-mère de George Sand. Libre-penseuse, adepte des philosophes tels que Voltaire, Jean-Jacques Rousseau ou Buffon, la vie de Marie-Aurore de Saxe est marquée par les péripéties de l’Histoire et les drames personnels.

MARIANNE

Selon Chat GPT : Marianne est le symbole de la République française et incarne les valeurs fondamentales de liberté, égalité et fraternité. Représentée sous les traits d’une femme portant souvent un bonnet phrygien, elle apparaît dès la Révolution française comme une figure allégorique du peuple en lutte pour ses droits. Marianne symbolise la démocratie, la souveraineté du peuple et l’attachement aux principes républicains. Présente dans les mairies, sur les pièces de monnaie ou les timbres, elle évolue au fil du temps, parfois douce, parfois combative, mais toujours engagée. Elle représente aussi l’unité et la continuité de la République face aux épreuves. À travers elle, la France affirme son identité républicaine et la défense des droits de l’homme.

ADA LOVELACE

Ada Lovelace, née en 1815, est reconnue comme la première programmeuse de l’histoire. Fille du poète Lord Byron et de la mathématicienne Annabella Milbanke, elle grandit loin de son père, que sa mère quitte peu après sa naissance. Annabella lui offre une éducation poussée en mathématiques et en sciences. En 1832, Ada rencontre la scientifique Mary Sommerville, puis, en 1833, le mathématicien Charles Babbage, inventeur d’une machine analytique, ancêtre de l’ordinateur. Ada traduit et annote ses travaux, y ajoutant un algorithme destiné à être exécuté par une machine. Ce travail fait d’elle la pionnière de la programmation informatique. Visionnaire, elle entrevoit déjà le potentiel des machines au-delà du simple calcul. Ada Lovelace meurt en 1852, mais son apport reste fondamental dans l’histoire de l’informatique.

LOUISE JOSEPHINE SARRAZIN DE BELMONT

Louise Joséphine Sarrazin de Belmont, née en 1790 à Besançon, est une peintre française reconnue pour ses paysages et ses vues architecturales. Élève d’Antoine-Jean Gros, elle s’inscrit dans la tradition du romantisme, alliant sensibilité poétique et précision topographique. À une époque où les femmes artistes sont rares, elle parvient à se faire une place grâce à son talent et à sa persévérance. Elle expose régulièrement au Salon à partir de 1812 et voyage en Italie, notamment à Rome et à Naples, d’où elle tire une grande partie de son inspiration. Ses œuvres, souvent marquées par une lumière douce et une composition équilibrée, révèlent une grande maîtrise du dessin. Louise Joséphine Sarrazin de Belmont meurt en 1871, laissant une œuvre discrète mais raffinée, qui contribue à ouvrir la voie aux femmes dans le monde de l’art au XIXe siècle.

PAN YULIANG

Pan Yuliang, née en 1895 en Chine, est une peintre pionnière de l’art moderne chinois. Orpheline très jeune, elle est vendue à une maison close avant d’être recueillie par un fonctionnaire qui soutient son éducation. Elle étudie aux Beaux-Arts de Shanghai, puis poursuit sa formation à Paris et Rome, où elle adopte les techniques occidentales tout en conservant des éléments de l’esthétique chinoise. Elle est l’une des premières femmes chinoises à peindre des nus féminins, ce qui lui vaut admiration à l’étranger mais critiques en Chine. Son œuvre mêle tradition et modernité, mettant en avant l’expression personnelle et la liberté artistique. Reconnue internationalement, elle passe une grande partie de sa vie en France, où elle meurt en 1977. Pan Yuliang est aujourd’hui célébrée comme une figure majeure de l’art moderne chinois et une femme libre dans une époque conservatrice.

LINDA SCHEIM

Linda Scheim, née le 6 mars 1800, est une fleuriste visionnaire surnommée la fabuleuse fleuriste. Ne sachant pas dessiner, elle créait ses incroyables compositions florales à partir de taches d’aquarelle, qu’elle utilisait comme point de départ pour imaginer ses bouquets. Sa méthode intuitive donnait naissance à des créations poétiques, libres et profondément sensibles. Discrète et avant-gardiste, elle a marqué l’histoire de l’art floral par son approche unique, mêlant nature, imagination et liberté. C’est sous forme d’expositions d’aquarelles que son travail est aujourd’hui montré. La date de sa mort reste inconnue.

CAMILLE MOUSSON DE LESTANG

Camille Mousson de Lestang (née en 1820)

est une figure historique remarquable,
pionnière du monde équestre au XIXe siècle et une femme d’exception dans un milieu dominé par les hommes.
Née dans une famille aristocratique, elle bénéficie d’une éducation soignée qui, au lieu de la cantonner aux rôles traditionnels de la femme de son époque, la pousse à se forger une identité unique, marquée par l’amour du cheval et de l’équitation. Elle milite pour la reconnaissance des femmes dans les sports équestres, et son influence s’étend au-delà des frontières de la France. Elle prend part à des rencontres internationales, partageant ses expériences et ses connaissances. Dans les salons parisiens, Camille devient une voix importante pour promouvoir l’accès des femmes à l’éducation équestre, tout en soulignant l’importance de l’autonomie et de la liberté pour les femmes de son époque.
Les exploits de Camille Mousson de Lestang ne sont pas seulement ceux d’une cavalière de talent, mais ceux d’une femme pionnière, qui a su défier les normes de son époque et ouvrir la voie à de futures générations de femmes passionnées par l’équitation.

MADAME PIVERT

Marie-Stella Pivert, née Marquise Marie-Stella de Prevenar, est une personnalité attachante et fantasque, aujourd’hui installée à Pau. Dotée d’un tempérament dynamique et d’une parole vive, elle enchante par son esprit poétique et sa vision singulière du monde. Passionnée par la nature et les symboles, elle s’est forgé une identité originale autour de sa collection unique de piverts, oiseaux qu’elle considère comme des messagers d’énergie et de créativité. Avec un regard espiègle sur la vie, Marie-Stella mêle élégance et excentricité, cultivant le mystère de son passé noble tout en vivant pleinement dans le présent. Elle incarne une forme rare de liberté, faite de rêverie, d’humour et de fantaisie, qui fait d’elle un personnage inoubliable (biographie imaginée d’une personne dont on fantasme l’histoire )

OLYMPE DE GOUGES ET SON REGARD SUR L’ESCLAVAGE

Olympe de Gouges, féministe et militante des droits de l’homme, a activement pris position contre l’esclavage noir au XVIIIe siècle. Dans son Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791), elle revendique l’égalité des droits pour tous, y compris les esclaves. Son engagement s’est intensifié après la Révolution française, où elle a écrit la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen des colonies (1793), appelant à l’abolition de l’esclavage et à l’émancipation des esclaves. De Gouges a également soutenu les révoltes des esclaves dans les colonies françaises et dénoncé les injustices du système colonial. Son engagement contre l’esclavage témoigne de sa vision radicale de la liberté et de l’égalité.

LA REINE MARGOT

Marguerite de Valois, dite la Reine Margot (1553-1615), fille du roi Henri II et de Catherine de Médicis, fut l’une des figures les plus marquantes du XVIe siècle en France. Mariée au roi Henri de Navarre (futur Henri IV) en 1572, son mariage fut l’un des événements déclencheurs du massacre de la Saint-Barthélemy, où des milliers de protestants furent tués. Ce mariage politique visait à rapprocher les catholiques et les protestants, mais il fut le symbole de l’intensité des conflits religieux en France. Après son divorce avec Henri IV, Margot vécut une existence indépendante, entre intrigues et exils. Elle fut une figure de la cour, dotée d’une grande culture et d’une personnalité marquée par la résilience face aux adversités politiques et familiales.

LA LIBERTÉ

Lorsqu’on demande à ChatGPT si le tableau était une femme il dit :

« La Liberté guidant le peuple » d’Eugène Delacroix incarne une figure de rébellion et de courage, à l’image d’une femme résolue et intrépide. Comme une guerrière, elle mène son peuple au combat, brandissant le drapeau de la liberté, symbole de la lutte pour l’égalité et la justice. Son visage déterminé et sa posture imposante révèlent une force intérieure, prête à défier l’oppression. Son corps, à moitié dénudé, rappelle la puissance et la vulnérabilité féminine, mélange d’audace et de sensibilité. Cette Liberté, dans sa quête de renverser l’ordre établi, est comme une femme audacieuse qui, face aux obstacles, trouve la force de guider, d’inspirer et d’exiger un monde plus juste. Elle incarne la résistance, l’espoir et la promesse de la révolution.

AGNÈS VARDA

Agnès Varda (1928-2019) est une figure emblématique du cinéma français, pionnière de la Nouvelle Vague et réalisatrice engagée. D’origine belge, elle se fait connaître en 1955 avec La Pointe Courte, un film novateur qui mêle fiction et documentaire. Véritable artiste à l’approche unique, elle explore à travers ses œuvres des thèmes sociaux, politiques et féministes. Parmi ses films les plus célèbres, Cléo de 5 à 7 (1962) et Le Bonheur (1965) dépeignent avec sensibilité et modernité la condition féminine. Dans les années 2000, elle réalise Les Glaneurs et la Glaneuse (2000), un documentaire personnel et poétique sur la pauvreté et la récupération. Toujours curieuse et avant-gardiste, elle remporte en 2017 un César d’honneur, marquant la reconnaissance de toute une carrière consacrée à l’innovation et à la liberté artistique

La source

Libre de son corps.

Simone Veil Enfant

A la gare, en proie.

Marika – MOG – Gysbers est une artiste française, originaire de Pau. Son travail s’inscrit dans un mouvement mêlant les codes du street art à une peinture résolument contemporaine.